setembro 18, 2010

Madame Bovary

(continuação 3)

«Mais, avec cette supériorité de critique
appartenant à celui qui, dans n’importe
quel engagement, se tient en arrière,

Rodolphe aperçut en cet amour d’autres
jouissances à exploiter. Il jugea toute
pudeur incommode. Il la traita sans façon.
Il en fit quelque chose de souple et de corrompu.

C’était une sorte d’attachement idiot plein
d’admiration pour lui, de voluptés pour elle,
une béatitude qui l’engourdissait; et son âme
s’enfonçait en cette ivresse et s’y noyait,
ratatinée, comme le duc de Clarence
dans son tonneau de malvoisie.»

op.cit. p.300-1 (fin de cit.)

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