en vertu de cette idée, qu’une femme doit toujours
écrire à son amant.
Mais, en écrivant, elle percevait un autre homme, un fantôme
fait de ses plus ardents souvenirs, de ses lectures les plus belles,
de ses convoitises les plus fortes; et il devenait à la fin si
véritable, et accessible, qu’elle en palpitait émerveillée,
sans pouvoir néanmoins le nettement imaginer,
tant il se perdait, comme un dieu,
sous l’abondance de ses attributs.»
:)
(destaque meu)
(destaque meu)
op. cit., p.429
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