março 27, 2009

E o romance termina assim :):



«Qu’importaient les victimes que la machine écrasait en chemin !
N’allait-elle pas quand même à l’avenir insoucieuse du sang
répandu? Sans conducteur, au milieu des ténèbres, en bête
aveugle et sourde qu’on aurait lâchée parmi la mort,
elle roulait, chargée de cette chair à canon,
de ces soldats, déjà hébétés de fatigue,
et ivres, qui chantaient.»

o.p., p. 461-2 (folio classique)

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